Lambert et al. ont trouvé une corrélation de r=0,294 (p=0,010) entre la durée d'ensoleillement et le taux de sérotonine dans le cerveau, avec une rapide montée des taux dés que l'ensoleillement augmente.
Ils considèrent qu'il s'agit d'une confirmation de l'importance de la luminosité dans les dépressions saisonniéres, importance que l'efficacité des photothérapies avait déj à montrée.