Une étude [1] longitudinale sur 10 ans portant sur 407 volontaires (50-91 ans) de la cohorte Baltimore Longitudinal Study of Aging a trouvé un lien entre le taux de testostérone libre (i.e. : non attachée à une protéine) circulante, et les résultats à des tests de mémoire visuelle et verbale, de fonctionnement visuospatial, et de balayage visuomoteur, ainsi qu'un plus faible taux de déclin en mémoire visuelle.
Par contre aucune relation n'a été trouvée avec les connaissances verbales, le statut mental ou les symptômes dépressifs. L'une des auteurs de l'étude, Susan M.